L’avenir économique du conditionnement à façon

business

Depuis les années 90, l’industrie de conditionnement à façon ne cesse d’évoluer, offrant constamment de l’innovation sur les contenants. Face à un marché en constante évolution en fonction des secteurs, le conditionnement à façon a trouvé un chemin de développement particulier, la délocalisation. Dans le contexte d’une économie varié dans le monde, c’est en effet le moyen le plus rentable dans ce secteur d’investissement.

Une spécialité externalisée

La raison de cette délocalisation est avant tout une question de spécialisation. En effet, les différents secteurs sont de plus en plus exigeants en plus de la hausse graduelle des demandes. En misant sur la délocalisation, les industries du conditionnement bénéficient d’une redistribution plus rentable et efficace. En même temps la délocalisation est une condition obligatoire pour le développement de l’entreprise du conditionnement, car ce sont justement les secteurs clients qui externalisent leur demande. Les acteurs dans le domaine du conditionnement sont donc dans l’obligation de suivre cette tendance tout en obtenant des avantages considérables, mais sans risque.

Les risques de la délocalisation

Bien qu’offrant les avantages du développement, la délocalisation présente des risques à ne pas négliger pour tout secteur. Le plus marquant est la possibilité d’une perte des activités en raison des différences culturelles ou le manque de supervision. Dans le même contexte, le risque d’une perte de qualité est également envisageable ce qui pourrait pénaliser grandement la société surtout si la spécialité concerne un secteur très exigeant à l’image de la médecine ou de la pharmacie. On peut également considérer le risque d’un retard sur les délais contractuels en raison d’une complexité de la situation géographie ou logistique. Néanmoins, tout métier comporte des risques, mais la question est de savoir les évaluer pour établir des plans d’action permettant de les anticiper.

Les secteurs les plus externalisés pour le conditionnement

L’agroalimentaire est actuellement le secteur le plus externalisé pour une part de 43 % des activités totales. Vient en deuxième place le secteur de la pharmacie qui présente une part de 39 % d’activité externalisée selon les études du marché. En troisième place on trouve le cosmétique pour 36 % des parts d’activité. D’autres secteurs se trouvent dans ce circuit, mais avec des parts d’activité minimes.